Au fil des années et des formations, la vision que j’ai de mon métier a évidemment évoluée. Les expériences et pratiques de plusieurs approches font que je pourrais intitulé mon job de différentes façons : coach en développement personnel, coach mental, préparateur mental et coach de vie (en France). On m’a aussi proposé coach en confiance en soi, coach en motivation, conseiller en performance… et j’en passe. Comme quoi, notre métier est une porte ouverte à toutes les interprétations.
Coach de vie ?
C’est un titre qui m’a souvent paru un peu pompeux, comme si j’avais les compétences de pouvoir vous dire et expliquer ce que vous devez faire de votre vie et comment vous devriez la gérer ! Comme si je détenais une forme de toute-puissance. Si c’était le cas, cela serait dangereux, n’est-ce pas ?
J’ai découvert à travers des discussions avec des confrères ou d’autres corps de métiers, que coach de vie pouvait mettre en perspective une image douce de mon métier : un praticien qui accompagne son client dans sa vie.
En cela, cette définition d’accompagnement me plait et me ressemble plus que les fameux “vendeur de méthodes sur YouTube”, “spécialiste du marketing de coaching”, “conseiller en performance pour les tops managers” ou encore “gourou qui est prêt à vous faire acheter n’importe quoi” !
À mes “presque” débuts dans le développement personnel, je me dirigeais vers une carrière de psychothérapeute. Une approche différente que celle que l’on se fait du coach et surtout des objectifs très différents. Ne serait-ce que celui-ci et pas des moindres : un reçoit des patients et l’autre des clients.
Je vous épargne (dans cet article) les phases de changements qui m’ont mené au coaching. Cependant j’ai toujours eu l’envie de prendre soin tout autant que d’aider à atteindre des objectifs en passant à l’action.
Avec certains clients je me suis vu leurs dire : “Je laisse quelques minutes la casquette de coach et je vais me permettre, si vous êtes d’accord, de vous dire ceci…” Cette prise de position n’est évidemment pas anodine dans un travail d’accompagnement. En fait, formuler certaines suggestions peut réellement débloquer une citation. Si la suggestion est juste alors tant mieux. Et si elle ne résonne pas chez mon interlocuteur, elle permet là aussi d’ouvrir de nouveaux horizons.
Je communique aussi sur LinkedIn afin d’entrer en relation avec des entrepreneurs soucieux de progresser personnellement.
Alors, pourquoi pas ?
Pourquoi pas utilisé cette dénomination, du moment que nous nous focalisons sur le positif, que nous souhaitons aider les autres, que le respect et la clarté des messages sont de mises, que les croyances de chacun son respectées…
Une approche personnelle du coach est tout à fait acceptable. Si le terme de coach de vie répond à la demande des clients et que cela ne soit pas confondu avec une thérapie “sauvage”, de bas étage, alors pourquoi pas adopter cette dénomination ?
Pour être accompagné par un coach de vie en France, depuis la Suisse, le Québec ou la Belgique, n’hésitez pas à planifier une séance offerte pour en discuter.
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