Quand prendre contact avec un coach anti-procrastination

CAP : Coaching Anti-Procrastination

80% des personnes (en tout cas dans nos sociétés modernes) seront un jour ou l’autre touchées par la procrastination.

Ca va d’une tâche que l’on repousse de temps en temps à un véritable frein dans la vie.

Toutefois, il est essentiel de faire le point sur deux sortes de procrastination : l’active et la passive.

Active :

Dans ce cas, vous choisissez consciemment de remettre au lendemain. Vous savez prendre du recul quand il y a trop de stress. Vous planifiez des moments pour vous, d’autres pour vous reposer ou encore vaquer à d’autres activités. Cela vous permet également d’être plus créatif. Bref, c’est une procrastination choisie.

Passive :

C’est celle-ci qui amène les procrastinateurs à faire une démarche de coaching.

Là, il n’est plus question de choisir mais de subir et c’est ce qui fait toute la différence. Il y a un véritable de besoin de reprendre son temps en main. Il y a aussi tout l’aspect psychologique à prendre en compte dans cette forme de procrastination (motivation, ennui, confiance en soi, peurs, discipline…).

Comprendre cette tendance à repousser les tâches

Mon but est de vous aider à démêler le faux du vrai car c’est un sujet plus sensible qu’il n’y parait. On peut en rire ou encore se moquer des procrastinatrices et procrastinateurs, pourtant cela gâche la vie de nombreuses personnes.

De ce fait, l’accompagnement doit être pris très sérieusement pour les aider à passer à l’action.

Dans mes articles je vous transmets des outils, des méthodes, des réflexions, des stratégies et je des connaissances pour mieux comprendre cette tendance à différer les actions.


Il y a des moments où vous aviez pourtant l’intention sincère de vous y mettre. Vous aviez tout prévu, même dégagé du temps. Et pourtant… quelque chose vous échappe. Vous vous retrouvez à faire tout sauf ce que vous deviez accomplir. Ce n’est pas toujours spectaculaire. Parfois, c’est insidieux. Et c’est justement ce qui rend la procrastination si redoutable : elle se glisse dans nos sens, nos pensées, notre environnement, nos émotions. Ce sont des signaux faibles, des déclencheurs qui annoncent la procrastination, mais leur impact est fort.

Aujourd’hui je vous propose de plonger dans l’univers des déclencheurs sensoriels et cognitifs de la procrastination. Vous allez apprendre à les repérer, les comprendre, et surtout à les déjouer avec discernement. Parce qu’avec de la lucidité, de l’entraînement et les bons outils, vous avez mieux à faire que de repousser sans cesse ce qui compte pour vous.


Voir les signes : la procrastination commence souvent par les yeux

Le désordre visuel, les écrans surchargés d’onglets, la recherche infinie du bon cadre de travail… autant d’indices subtils que vous fuyez la tâche à accomplir.

  • Votre bureau devient un champ de bataille ? C’est peut-être votre inconscient qui construit une muraille entre vous et l’action.

  • Votre écran ressemble à une rame de métro bondée ? Vous êtes peut-être en train de noyer la tâche dans l’infobésité.

  • Vous cherchez la playlist idéale depuis 20 minutes ? Derrière cette quête d’ambiance parfaite, il y a souvent une peur de ne pas être à la hauteur.

Ce à quoi être attentif : Tout changement soudain dans votre environnement visuel habituel peut être un signe de fuite. Demandez-vous : « Suis-je vraiment en train de me préparer, ou suis-je en train de me saboter sous couvert de préparation ? »

Ce que vous pouvez faire :

  • Faites un rituel visuel simple et rapide (2 minutes chrono) avant de commencer. Pas plus.

  • Limitez vos onglets à trois : un pour la tâche, un pour la documentation, un pour le chrono.

  • Installez un fond d’écran motivant, sobre, qui vous rappelle votre objectif principal.

Ce que la procrastination révèle de vous

Entendre ce qui déraille : le pouvoir des bruits qui détournent

Les sons deviennent parfois des excuses. Vous vous surprenez à monter le volume d’un podcast ou à tendre l’oreille à des conversations insignifiantes ? C’est que vous avez quitté la route. Ce sont là aussi des déclencheurs qui annoncent la procrastination.

  • Le chant des oiseaux devient fascinant… au moment même où vous alliez commencer ?

  • Un podcast de 90 minutes sur la concentration… que vous écoutez au lieu de vous concentrer ?

  • Des dialogues intérieurs apparaissent, vous convainquant d’attendre « le bon moment » ?

Posez-vous cette question : Votre oreille cherche-t-elle vraiment un appui, ou est-elle en train de chercher une échappatoire sonore ?

Ce que vous pouvez faire :

  • Créez une “bulle auditive” avec une seule bande-son instrumentale que vous associez à la concentration.

  • Ne lancez aucun contenu audio tant que vous n’avez pas fait 10 minutes de travail effectif.

  • Si les voix dans votre tête deviennent trop convaincantes, écrivez ce qu’elles disent. Les confronter à l’écrit les rend souvent absurdes.

Sentir pour fuir : quand le corps s’empare de la déroute

Procrastiner, ce n’est pas que dans la tête. C’est aussi dans le ventre, la gorge, les jambes, le palais. Le corps cherche un exutoire.

  • Envie soudaine de chocolat, de café ou d’un thé bien précis ?

  • Vous flânez au rayon huiles essentielles ou rêvez de parfumer votre bureau avec une bougie “concentration” ?

  • Votre bouche devient sèche à l’idée d’écrire ce mail important ?

Ce à quoi être attentif : Un changement soudain de vos habitudes alimentaires ou olfactives à l’approche d’une tâche est souvent un mécanisme de compensation émotionnelle.

Ce que vous pouvez faire :

  • Prévoyez à l’avance une boisson simple, neutre, qui ne vous détourne pas du travail.

  • Remplacez l’envie de collation par un étirement rapide ou une respiration profonde.

  • Ne cherchez pas le parfum magique : l’action est le meilleur parfum de motivation.

Bilan personnalisé anti-procrastination

Ressentir l’échappatoire : émotions, tensions et agitation

Le cœur s’accélère, la gorge se serre, vous vous levez sans raison apparente. Votre corps dit non, alors que votre volonté dit oui. C’est le signal d’une dissonance interne.

  • Fatigue inexpliquée juste avant de vous y mettre ?

  • Un besoin urgent de “juste répondre à ce message important” ?

  • Vous vous levez, vous asseyez, vous vous relevez sans but ?

Ce à quoi être attentif : Ces micro-gestes sont souvent des fuites émotionnelles. Votre système nerveux vous protège d’une peur : peur d’échouer, de réussir, d’être jugé…

Ce que vous pouvez faire :

  • Mettez un nom sur l’émotion ressentie. Nommez-la. « Là, je ressens de l’ennui », « Là, c’est de l’anxiété ».

  • Faites un “check-in émotionnel” : notez sur 10 votre niveau de tension. Acceptez de travailler à 6 ou 7. La perfection émotionnelle n’existe pas.

  • Bougez avant, pas pendant : 5 minutes de marche ou de sauts pour libérer l’agitation.

Penser à l’écart : l’intrusion cognitive qui désorganise

Votre esprit vagabonde, vous pensez à des idées brillantes… mais sans lien avec la tâche. Le piège du mental est souvent déguisé en “réflexion utile”.

  • Vous vous surprenez à planifier vos vacances en pleine écriture de rapport ?

  • Vous vous comparez à d’autres, vous doutez de votre légitimité ?

  • Vous passez plus de temps à imaginer comment faire la tâche qu’à la faire ?

Ce à quoi être attentif : La suractivité mentale est parfois un masque raffiné de la procrastination. Le perfectionnisme, l’auto-dévalorisation ou l’anticipation négative bloquent le passage à l’action.

Ce que vous pouvez faire :

  • Reprenez le contrôle avec la méthode « 3-2-1 Go » : 3 respirations, 2 phrases d’auto-encouragement, 1 micro-action.

  • Mettez un carnet « parking mental » à côté de vous : toutes les idées non pertinentes y sont notées pour plus tard.

  • Rappelez-vous : c’est l’action qui clarifie la pensée, pas l’inverse.

Coaching en ligne pour les étudiants

Leurres d’introspection : l’illusion de l’utilité

Certaines tâches « accessoires » semblent en lien avec votre objectif… mais elles le détournent.

  • Vous alignez vos stylos, triez vos fichiers, classez vos mails… avant de commencer ?

  • Vous relisez une troisième fois vos notes préparatoires sans passer à l’écriture ?

Ce à quoi être attentif : Le cerveau adore l’impression de productivité. Mais entre l’utile et l’essentiel, il y a un monde.

Ce que vous pouvez faire :

  • Classez vos tâches en 2 colonnes : “essentielles” vs “conforts secondaires”.

  • Posez-vous la question magique : « Est-ce que je suis vraiment en train d’avancer ? »

  • Fixez un temps limite aux préparatifs (ex : 5 minutes chrono pour ranger, puis action directe).

Le déclencheur n’est pas l’ennemi, c’est un signal

Voici ce qu’il est essentiel de retenir : les déclencheurs de procrastination ne sont pas des ennemis à abattre, mais des indicateurs à écouter avec finesse.

Chacun d’eux vous parle. Ils expriment une tension intérieure, un besoin de réassurance, une peur mal identifiée, une surcharge. Le problème n’est pas d’avoir ces déclencheurs qui annoncent la procrastination, c’est de ne pas savoir les repérer, les écouter, les apprivoiser.

Faire de chaque signe un point de ralliement

✅ En observant vos habitudes sensorielles et cognitives
✅ En développant votre vigilance intérieure (et non la culpabilité)
✅ En mettant en place des parades simples, efficaces, ritualisées
✅ En accueillant les émotions avec lucidité plutôt qu’en les fuyant
✅ En vous reconnectant à votre motivation profonde (Pourquoi faites-vous ce que vous faites ?)

… vous transformez des moments de procrastination en opportunités de reconquête de soi.

Et si vous vous donniez les moyens de changer ?

Sachez que vous êtes déjà sur le bon chemin. Vous avez lu cet article jusqu’ici et vous avez ressenti des choses. C’est le signe que vous vous questionnez, que vous avez envie de mieux faire. De mieux vivre. Et c’est une très bonne nouvelle.

Vous pouvez aller plus loin.

Je vous propose une séance contact OFFERTE de 15 minutes. Ensemble, nous ferons tout d’abord un point sur votre situation. Puis, je vous expliquerai comment mon accompagnement peut vous aider à dépasser ces déclencheurs qui annoncent la procrastination et qui sabotent vos journées.

Parce que vous avez mieux à faire que de procrastiner, n’est-ce pas ?

Réservez votre séance de contact ou votre bilan personnalisé dès maintenant

Vous savez exactement ce que vous avez à faire. Mais vous ne le faites pas. Pas parce que vous êtes paresseux. Pas parce que vous manquez de volonté. Ni parce que vous n’avez “pas envie”. Mais parce que quelque chose bloque à l’intérieur. Et ce blocage, vous le connaissez trop bien : il s’appelle procrastination. C’est pour cela que j’ai créé le CAP (Coaching Anti-Procrastination). Lire la suite

Vous avez mieux à faire que de repousser encore l’envoi de cette facture, de ce devis ou de ce dossier administratif. Et pourtant… Vous tergiversez. Vous remettez à demain. Vous vous perdez dans d’autres priorités. Résultat : le stress monte, les relances s’accumulent, les projets stagnent… et votre situation financière en pâtit. Cela peut vous coûter cher ! Lire la suite

La procrastination, ce retard chronique à agir malgré la conscience des conséquences négatives, est bien plus qu’un simple manque d’organisation. C’est un symptôme complexe aux causes multiples. C’est précisément là que la méthode Ishikawa entre en jeu. Connue aussi sous le nom de « diagramme de causes et effets » ou « diagramme en arêtes de poisson », cette approche permet de visualiser clairement les raisons profondes d’un problème pour mieux le résoudre. Et contre la procrastination, c’est une alliée précieuse. Lire la suite

Vous vous demandez pourquoi certaines tâches vous paraissent insurmontables ? Pourquoi vos journées s’étirent sans relief ? Pourquoi l’envie s’effiloche dès que vous pensez à “ce qu’il faut faire” ? Et si le vrai problème, ce n’était pas votre manque d’organisation ou votre supposée paresse… mais un manque de sens profond ? Lire la suite

Vous connaissez ce moment où, malgré le fait que vous avez mieux à faire, une tâche importante vous attend, mais où tout semble plus urgent, plus intéressant, plus facile ? L’évier, qui n’avait absolument pas besoin d’être récuré, devient soudainement votre priorité absolue. La boîte mail, que vous aviez prévu de désengorger plus tard, vous attire comme un aimant. Et ce documentaire sur la fabrication des crayons ? Incontournable. Lire la suite

Avez-vous déjà ressenti cette frustration face à une tâche que vous savez importante, mais que vous ne parvenez pas à accomplir ? Ce combat intérieur entre “je devrais le faire” et “je le ferai plus tard” n’est pas qu’une question de volonté. Il trouve ses racines dans le fonctionnement même de notre cerveau. Une récente étude a mis en lumière la région cérébrale impliquée dans la procrastination, et ses implications sont fascinantes. Lire la suite

Depuis que je suis coach en 2008 et spécialisé dans le coaching anti-procrastination depuis 2017, je vous assure qu’il n’existe ni potion magique ni baguette enchantée pour vaincre la procrastination. Et pourtant, nombreux sont ceux qui recherchent une solution rapide, une astuce révolutionnaire qui éradiquerait d’un coup leur tendance à remettre au lendemain. C’est humain. Mais soyons honnêtes : si une telle solution existait, nous serions tous ultra-productifs, sereins et disciplinés. Alors, pourquoi persistons-nous à chercher une technique secrète ?



La technique secrète existe-t-elle vraiment ?

Internet regorge de méthodes prétendument infaillibles : la règle des 5 secondes, la méthode Pomodoro, les to-do lists en couleurs, les rituels matinaux des grands dirigeants… Ces stratégies ont leur utilité, certes, mais elles ne sont que des outils. Aucune d’elles ne fonctionne si elle n’est pas intégrée dans une démarche personnelle profonde et durable. D’ailleurs, moi-même, j’utilise ces outils en appoint dans mon accompagnement, mais toujours en complément d’un travail de fond plus approfondi.

La vérité, c’est que la procrastination est souvent le symptôme d’un problème sous-jacent : peur de l’échec, perfectionnisme paralysant, manque de clarté sur les objectifs, fatigue mentale… Vous pouvez tester toutes les méthodes du monde, si vous ne traitez pas la cause, le problème persistera.

« La motivation vous fait commencer, mais c’est l’habitude qui vous fait continuer. » – Jim Ryun

Le vrai changement : plus qu’une technique secrète, un travail en profondeur

Si vous cherchez à arrêter de procrastiner définitivement, il faut accepter qu’il s’agisse d’un processus. Cela passe par un travail de réflexion, de connaissance de soi et d’expérimentation. Voici quelques axes concrets sur lesquels vous pouvez vous appuyer :

1. Comprendre vos blocages

Pourquoi remettez-vous cette tâche à plus tard ? Est-ce par peur ? Par manque d’intérêt ? Par fatigue ? Prendre le temps d’identifier ce qui vous freine est le premier pas vers un changement durable.

Selon une étude de l’Université de Calgary, 95% des étudiants admettent procrastiner, et 50% le font régulièrement au point que cela impacte leur quotidien.

2. Modifier votre rapport aux émotions

La procrastination est souvent une stratégie d’évitement : éviter l’anxiété d’un travail compliqué, éviter l’inconfort de l’incertitude… Plutôt que de lutter contre ces émotions, apprenez à les reconnaître et à les apprivoiser. Acceptez que certaines tâches ne soient pas agréables, mais qu’elles restent nécessaires.

3. Adopter une discipline bienveillante

La solution n’est pas de se forcer brutalement, mais de créer des habitudes progressives. Avancer par petits pas, célébrer ses progrès, s’entourer d’un environnement propice à la concentration… C’est ainsi que l’on construit une discipline qui tient dans le temps.

Il est important de se souvenir qu’ancrer solidement une nouvelle habitude prend 90 jours. Ce n’est ni 21 ni 7 jours, mais bien 90 jours !

4. Revenir à l’essentiel

Souvent, nous procrastinons car nous sommes noyés sous une montagne d’obligations qui ne nous motivent pas vraiment. Faites le tri. Recentrez-vous sur ce qui compte vraiment. Moins vous aurez de distractions inutiles, plus il sera facile de vous concentrer.

5. Passer à l’action, même imparfaitement

On attend souvent le moment parfait, la motivation idéale… qui ne viennent jamais. Une tâche commencée, même mal, est déjà une victoire. Le mouvement crée l’élan. Une fois que vous êtes lancé, tout devient plus simple.

🎤 Témoignage de Julie (Genève), entrepreneuse : « Avant, je repoussais constamment la rédaction de mes articles. J’attendais d’avoir l’inspiration parfaite. Grâce à l’accompagnement, j’ai appris à avancer même sans motivation immédiate. Aujourd’hui, je publie régulièrement et je ne ressens plus cette culpabilité pesante. »

Stéphane Abry Coaching sur LinkedIn

J’interviens auprès de 24’500 abonnés sur LinkedIn

Un accompagnement pour faire la différence

Si vous luttez contre la procrastination depuis des années, il est peut-être temps d’arrêter de chercher la technique secrète parfaite et d’opter pour un accompagnement adapté à votre situation.

En tant que coach anti-procrastination, je vous aide à comprendre vos blocages, à construire des stratégies efficaces et à ancrer des habitudes qui vous permettront d’avancer sereinement.

Vous en avez assez de vous sentir frustré(e) et de voir les journées défiler sans avancer sur vos projets ?

Imaginez-vous enfin accomplir ce que vous repoussez depuis trop longtemps, avec légèreté et efficacité.

Réservez votre bilan personnalisé anti-procrastination dès maintenant et faites le premier pas vers un quotidien qui soit plus fluide et efficace. Ainsi, ensemble, nous allons transformer votre rapport au temps et à l’action. Car, vous méritez mieux que de rester bloqué(e) n’est-ce pas ? Alors, agissez dès aujourd’hui !


Vous avez enfin décidé d’agir contre la procrastination. Vous avez cherché des solutions, testé des méthodes, peut-être même commencé un accompagnement avec un coach. Vous êtes motivé, prêt à en finir avec ces journées où vous repoussez tout à plus tard. Comme si vous étiez vraiment partant pour faire votre part du travail. Mais quelque chose cloche… Lire la suite

La procrastination, ce mot à la fois familier et redouté évoque cette tendance universelle à remettre à plus tard ce qui pourrait – ou devrait – être fait maintenant. Derrière ce comportement apparemment banal se cache une personnalité complexe, un univers de pensées, de croyances, de valeurs et de mécanismes psychologiques. Être un procrastinateur ou une procrastinatrice n’est pas qu’une question de paresse ou de désorganisation. C’est souvent le reflet d’un conflit intérieur, d’une lutte entre ambitions, émotions, et attentes. Qui est donc ce procrastinateur ? Qu’est-ce que la procrastination révèle ? Et surtout, pourquoi agit-il ainsi ? Lire la suite