La procrastination est une danse étrange, un jeu d’ombres et de lumières que nous jouons avec nous-mêmes. Elle est ce compagnon silencieux qui, parfois, nous murmure à l’oreille : « Attends encore un peu, demain sera le bon moment. » Mais demain devient une illusion, un mirage que l’on poursuit sans jamais l’atteindre.
Et si, derrière cette attente, se cachait autre chose ? Une peur, une quête, un besoin inexprimé ? Procrastiner, ce n’est pas seulement retarder une tâche : c’est parfois s’abriter, se cacher, ou même espérer un éclair de clarté dans le chaos du quotidien.
Une barque échouée au rivage
Imaginez-vous au bord d’un fleuve. Une barque est là, prête à partir, mais vous hésitez. Vous regardez les eaux, tantôt calmes, tantôt tumultueuses, et vous vous dites que le bon moment viendra. Pourtant, la barque attend.
Cette barque, c’est vos projets, vos ambitions, vos rêves non réalisés. La procrastination est cet instant suspendu où l’on se demande si l’on a vraiment le courage de partir. Et pourtant, chaque instant passé sur le rivage est un instant où l’on renonce à l’aventure.
La procrastination, un miroir de nos doutes
Sigmund Freud disait que « les décisions sont souvent prises dans l’inconscient bien avant que nous n’en ayons conscience. » La procrastination est, en un sens, un reflet de cet inconscient. Elle révèle nos peurs profondes : la peur de l’échec, de ne pas être à la hauteur, ou même de réussir et de devoir embrasser un nouveau rôle.
Mais elle peut aussi être une invitation à l’introspection. Pourquoi repoussons-nous certains projets alors que d’autres nous animent ? Quelle histoire personnelle, quel blocage émotionnel ou quelle croyance limitante nourrit ce comportement ?
Le chemin du courage
Accepter d’affronter la procrastination, c’est accepter de naviguer dans des eaux parfois troubles. C’est comprendre que la peur est une compagne de voyage, mais qu’elle n’a pas à tenir la barre.
En tant que coach, je ne suis ni un magicien ni un donneur de leçons. Je suis ce guide attentif qui embarque avec vous, qui vous aide à comprendre pourquoi la barque reste au rivage. Ensemble, nous explorons les courants intérieurs qui vous retiennent. Parfois, ce sont des souvenirs. D’autres fois, ce sont des attentes que l’on s’impose ou que l’on croit devoir respecter.
Mais surtout, je suis là pour vous accompagner dans cette traversée.
Une approche artisanale pour des âmes uniques
Chaque personne que j’accompagne est une singularité en pleine exploration. Il n’y a pas de méthode universelle, pas de recette miracle. Mon approche est artisanale : elle s’adapte à votre histoire, à vos besoins, à vos aspirations.
Avec des outils variés – PNL, hypnose, coaching, dessin thérapeutique et bien d’autres – je vous aide à comprendre ce qui se joue en vous.
Mais au-delà des techniques, il y a une philosophie : celle de l’authenticité.
Ensemble, nous découvrons ce qui fait sens pour vous, ce qui vous anime véritablement.
Pourquoi travailler ensemble ?
Vous ne venez pas me voir parce que je suis parfait. Vous venez me voir parce que je suis humain. Parce que, moi aussi, j’ai affronté des doutes, des peurs, des retards. Parce que je connais la beauté d’un cheminement sincère, fait d’efforts et de découvertes.
Je suis là pour vous accueillir tel(le) que vous êtes, sans jugement. Pour vous offrir un espace où vous pouvez être vulnérable, et où cette vulnérabilité devient une force.
Prenez la rame
Il y a un moment où il faut poser ses questions et prendre une rame. Ce moment, c’est peut-être maintenant. Peut-être que cet article résonne en vous, comme un rappel que le temps passe, mais que rien n’est jamais trop tard.
Je vous invite à réserver une séance de 30 minutes offerte. Pas pour résoudre tous vos problèmes d’un coup, mais pour commencer à naviguer ensemble, à votre rythme, avec vos courants intérieurs.
La procrastination n’est ni un ennemi ni une malédiction. Elle est une porte. Ensemble, ouvrons-la pour voir ce qu’il y a de l’autre côté.
Votre vie mérite d’être vécue pleinement, un choix à la fois, un pas à la fois, une rame après l’autre.
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